Dans son éditorial du 24 décembre 2016, le magazine The Economist chantait les louanges de son libéralisme bien-aimé. Les libéraux, nous dit-on, croient en « des économies et des sociétés ouvertes, où la libre circulation des biens, du capital et des idées est encouragée et où les libertés universelles sont protégées des abus de l’État par la primauté du droit ». Une si belle ode mériterait d’être mise en musique!

Actuellement, les dirigeants mondiaux se rassemblement pour la 21ième fois afin de s’entendre sur des solutions à apporter au dérèglement climatique. Mais les attentes sont faibles : quelles décisions pourraient être prises, alors que les 20 ( !) fois précédentes n’ont pas permis de limiter les dérèglements en cours ? “Changeons le système, pas le climat!”, tels étaient les mots du révolutionnaire latino-américain Hugo Chavèz. C’est maintenant un des slogans les plus repris lors des mobilisations autour du sommet de Paris, qui ont été scandaleusement interdites depuis les attentats du 13 novembre.

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