Lors d’une conférence de presse donnée le 28 août 2014, le président des États-Unis Barack Obama a admis « ne pas avoir encore une stratégie pour lutter contre les miliciens de l’Isis ». Cette confession d’Obama révèle l’impasse des États-Unis face à la nouvelle crise explosive au Moyen-Orient, suite à la progression en Irak de l’Isis [en Français : l’État Islamique de l’Irak et du Levant].

Selon un vieux proverbe oriental, « un homme assis sur le dos d’un tigre aura du mal à en descendre ». Lorsque les forces de la coalition ont marché sur Bagdad, en mars 2003, les impérialistes étaient pleins d’optimisme. On allait voir ce qu’on allait voir ! Intoxiqués par leur propre puissance militaire, ils annonçaient un avenir radieux pour l’Irak et le Moyen-Orient.

Notre revue

 
 

 Révolution 50 1 page 001

Facebook